Conférences 2006-2007

La voix médiatisée : présences et absences

Jeanne Bovet

Résonance et dissonance de la voix à l’opéra

Frédéric Maurin
Documentation

8 juin 2007


Colloque du centre de recherche sur l’intermédialité (CRI) et du laboratoire des nouvelles technologies de l’image, du son et de la scène (LANTISS)

CRI
LANTISS

Intermédialité, théâtralité, (re-)présentation et nouveaux médias

25-29 mai 2007


...

Bernard Lafargue
11 mai 2007


Hyper-cinéma : mutations du cinéma par l’informatique

Aujourd’hui, tous les médias sont devenus numériques (caméras, appareils photos, lecteurs MP3, téléphones mobiles, télévision, etc.) et ceux qui ne le sont pas sont en voie de mutation. Le cinéma n’est pas exempt de ces changements insufflés par l’informatique qui de près ou de loin l’affecte aussi bien sur les régimes de la saisie (le tournage), de l’agencement (le montage) que celui de la diffusion (la projection). Dans le domaine des arts plastiques, depuis quelques années, les œuvres couplant l’ordinateur au dispositif du cinéma ont vu le jour, en témoigne la profusion des termes suivants : Chronophotographie interactive, Cinéma interactif, Vidéo interactive, Dramaturgie interactive, Webdramas, Post-cinema, Soft cinema, Future cinema, Icinema.

Thierry Guibert
17 avril 2007


Le corps dansant et ses doubles : aura de Stéphane Gladyszewski

Michèle Fèbvre

L’ombre dans les chorégraphies de Marc Boucher

Marc Boucher

29 mars 2007


Présentation des lettres a-action et d-dressage de son abécédaire du corps dansant

Andrée Martin
9 mars 2007


La performativité dans l’œuvre de Jérôme Bel

Katya Montaignac

Présence et éthologie

Jonathan Hope

16 février 2007


Flussgeist : en résence des flux

Grégory Chatonsky
2 février 2007


James Luna : effets de présence et effets de culture

Jonathan Lamy
Documentation

Présence / Coprésence / Téléprésence

Ben Unterman

19 janvier 2007


Théâtralité, rituel et jeu dans le bioart

Christine Desrocher

Du texte à la scène : performativité et écriture dramatique

Une thèse trop répandue prétend que le texte théâtral est par nature troué et que pour être compris dans sa totalité, il doit être mis en scène. La plupart des théoriciens du théâtre s’accordent à dire que le texte dramatique est difficile à lire parce que, étant « troué » ou criblé de « blancs », il exige un travail particulier sur les présupposés de la parole et la double représentation imaginaire de la scène et de la hors scène. On peut se demander alors dans quelle mésure peut-on parler de texte de théâtre sans évoquer sa dimension performative? Inversement, serait-il possible de définir la « théâtralité » d'un texte sans évoquer les éléments traditionnels qui caractérisent le cadre pragmatique de sa reproduction scénique (didascalies, personnages, dialogues, etc.) ? Enfin, y a-t-il des conditions particulières de production de l’écriture dramatique qui prennent en compte les composantes scéniques, ne se confondent pas avec les intentions d’une littéralité et sont en parfait accord avec les intentions d’une performativité, au sens illocutionnaire d’Austin ?

Antonia Pereira

8 décembre 2006


Pour une théorie de l’espace vide. Stratégie énonciative de la mise en scène dans les « pièces pour la télévision » de S. Beckett

Liviu-Dospinescu
(soutenance de thèse)
1 décembre 2006


Théâtre de la mort / théâtre de la mémoire la présence dans l’œuvre de Kantor

Virginie Lachaise
10 novembre 2006


...

Jean Décarie
20 octobre 2006


Présentation du groupe et des axes de recherche

Josette Féral
26 septembre 2006


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