Chercheurs associés
Antonio Araujo
Universidade de São Paulo (Brésil)
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Philip Auslander
School of Literature, Communication, and Culture
Georgia Institute of Technology (Atlanta - USA)
Clarisse Bardiot
Université de Valenciennes
Titulaire d'un doctorat en études théâtrales sur Les Théâtres virtuels (CNRS / Université Paris 3), Clarisse Bardiot est maître de conférences à l'université de Valenciennes dans le master ingénierie et création numérique. Elle a obtenu en 2005 la bourse de chercheur-résident de la Fondation Daniel Langlois à Montréal pour une recherche sur 9 Evenings, Théâtre & Engineering. Participant à de nombreux colloques en France et à l'étranger, elle intervient comme conférencière ou consultante dans diverses institutions et événements culturels. Elle est responsable des formations et de la recherche au CECN (Centre des écritures contemporaines numériques, Belgique). Dans ce cadre, elle participe au projet international DOCAM (Fondation Daniel Langlois - Montréal) sur la documentation et l'archivage des oeuvres d'art à composante technologique. Clarisse Bardiot est chercheur associé au CNRS (ARIAS : Atelier de recherches sur l'intermédialité et les arts du spectacle).
Sandeep Bhagwati
Chaire de recherche du Canada sur la théorie et la pratique de l'art interdisciplinaire
Concordia University
Créer un nouveau langage artistique
Tout comme la vie, l'art devient de plus en plus influencé par la numérisation et la mondialisation. De nos jours, l'art ne peut être confiné à une seule culture, à une seule discipline ou à un seul moyen d'expression : des compositeurs font des films, des acteurs utilisent des ordinateurs vestimentaires, des artistes conçoivent des robots mimes, des danseurs traditionnels indiens composent de la musique électronique en temps réel, et ainsi de suite. Parfois, tous ces phénomènes se produisent simultanément, dans un même espace.
Sandeep Bhagwati étudie le fonctionnement de ces nouvelles formes d'art stupéfiantes. Il estime que la division des arts en disciplines est désuète. Tous les jours, nous vivons de nombreuses expériences et utilisons la plupart de nos sens la majeure partie du temps. M. Bhagwati se demande pourquoi nous ne ferions pas la même chose dans le domaine de l'art et, surtout, de quelle façon nous pourrions rendre cette nouvelle forme d'art accessible à tous.
A titre de compositeur, Sandeep Bagwati a produit de la musique qui réunit des influences des cultures classiques et contemporaines, y compris celles de l'Inde, de la Chine, du monde arabe et de l'Occident. Son expression artistique, qui est grandement influencée par son esprit scientifique, a notamment pris les formes suivantes : musique d'opéra et de concert, expositions muséales, danse vidéo, art radio expérimental, travaux explorant les propriétés des espaces sociaux et publics, cyberart interactif.
En sa qualité de titulaire de chaire de recherche du Canada, M. Bhagwati étudie les possibilités d'un nouveau langage artistique interdisciplinaire et interculturel avec ses collègues de l'Université Concordia. Tout comme l'opéra a déjà intégré toutes les formes d'expression artistique d'une époque et de sa culture, le nouveau langage artistique permettra aux artistes de créer - et au public aux divers antécédents de comprendre - le choc et les liens subtils de différentes sensibilités, ce qui nous aidera à affronter les difficultés et à goûter aux plaisirs de la diversité personnelle et sociale d'une manière satisfaisante.
Christian Biet
Université Paris X - Nanterre
Équipe de recherche HAR (Histoire des Arts et des Représentations)
Professeur d'histoire et esthétique du théâtre à l'université de Paris X-Nanterre, spécialiste de la littérature du XVII° siècle, de l'histoire des idées et des questions relatives au théâtre de l'Ancien Régime. Il est l'auteur de nombreux articles et ouvrages dont, entre autre Le Miroir du Soleil (Découverte Gallimard, 1989 et 2000), Œdipe en monarchie, tragédie et théorie juridique à l'Âge classique (Klincksieck, 1994), Racine ou le Passion des larmes (Hachette, 1996), La Tragédie (Armand Colin, 1997), Henri IV, la vie, la légende (Larousse, 2000), Droit et littérature sous l'Ancien Régime. Le jeu de la valeur et de la loi (Champion, 2002). Il a également dirigé le 40° numéro de Littératures classiques sur « Droit et littérature », le numéro spécial de Critique sur les derniers essais sur le théâtre (avec Pierre Frantz) en 2005, Théâtre cruel et récits sanglants français (fin XVI° - début XVII°) en 2006 ainsi que Qu'est-ce que le théâtre ? (avec Christophe Triau), la même année.
Il est membre de l’équipe de recherche HAR (Histoire des Arts et des Représentations) à l’Université Paris Ouest-Nanterre.
Luc Boucris
Luc Boucris est professeur émérite en études théâtrales à l'Université Stendhal Grenoble III (membre de l’équipe Traverses 19-21 / E.CRI.RE, EA 3748). Il travaille en relation avec l’Union des scénographes (U.D.S.) à la construction d’un Institut Européen de Scénographie. Il dirige la collection Ex Machina aux éditions de l’Entretemps. Territoire et identité des arts de la scène, espace et scénographie, jeu et personnage, technologie et représentation, public et spectateurs constituent les axes de ses recherches. Derniers ouvrages publiés : Scénographie, 40 ans de création, L’Entretemps, (ouvrage collectif en co-direction avec J-F Dusigne et R. Fohr), octobre 2010, La scénographie, Guy-Claude François à l’oeuvre, ouvrage sur la scénographie contemporaine : statut, formes et signification, L’Entretemps, février 2009. Quelques articles : « Que faire du désir de jouer ? » in Recherches et Travaux, Grenoble, juin 2009 , « Public ou spectateurs ? » Essai sur les transformations contemporaines de la notion de public, in Le spectateur à l’âge classique, L’Entretemps, octobre 2008, « Eclairer, jouer, théâtraliser » in Théâtre / Public, Faire la lumière, n° 185, mai 2007, « La présence et le signe » in Théâtre / Public, L’ouvrage et l’œuvre, n° 177, avril 2005, « Technique, ambition rimbaldienne et dramatisation du spectateur », in Autour de Jacques Polieri, scénographie et technologie, Bibliothèque Nationale de France, 2004.
Jeanne Bovet
Université du Québec à Montréal
Professeure au Département des littératures de langue française depuis 2004, Jeanne Bovet possède aussi une formation en chant classique. Elle s'intéresse au théâtre d'Ancien Régime, au théâtre québécois contemporain, à l'histoire de la déclamation et de l'usage dramaturgique et scénique de la voix, aux rapports entre théâtre et musique, au plurilinguisme en littérature et au théâtre, ainsi qu'aux problématiques et esthétiques de l'oralité, sujets sur lesquels elle a publié plusieurs articles dans des revues spécialisées et des ouvrages collectifs (Les langues de la dramaturgie québécoise contemporaine, Études françaises, vol. 43, no 1, Les Presses de l’Université de Montréal, 2007). Elle mène actuellement une recherche subventionnée sur l’inscription oratoire de la déclamation dans la dramaturgie classique (FQRSC, 2006-2009) : « Écrire la voix au XVIIe siècle : inscription oratoire de la déclamation dans la dramaturgie française de l’âge classique (1650-1690) ». Elle s'intéresse tout particulièrement à l’histoire de la déclamation et de l'usage dramaturgique et scénique de la voix, ainsi qu'aux problématiques et esthétiques de l’oralité.
Yannick Bressan
Laboratoire Histoire des Arts et des Représentations, Université Paris Ouest, Nanterre, la Défense
Docteur ès sciences humaines (Paris X, Nanterre), chercheur en sciences cognitives. Il a conçu et mis en scène l'un des premiers spectacles théâtral interactifs et en direct sur Internet (1999). Il a mis à jour le principe d’adhésion lors d’une expérience interdisciplinaire qu'il a initié et dirigé à l’hôpital civil de Strasbourg (Laboratoire d'Imagerie et Neurosciences Cognitives, CNRS) en collaboration avec le Théâtre national de Strasbourg. Ses recherches, publications et conférences abordent la question de la représentation et du rapport du sujet à sa réalité sous le prisme de l’esthétique et des sciences cognitives.
Il est l'auteur de A la recherche du Principe d'adhésion. Le théâtral comme tube à essais des neurosciences cognitives, éditions universitaires européennes, 2011, Du principe d'adhésion au théâtre. Perspective historique et phénoménologique, éditions universitaires européennes, 2011, il a contribué, entres autres ouvrages et articles, à « What physiological changes and cerebral traces tell us about adhesion to fiction during theatre-watching? » in Human Frontier Neurosciences, 2010; Doxa. Étude sur les formes et les constructions de la croyance, Dir. P. Hummel, Philologicum, 2010; Les Débris du sens, Dir. P. Hummel, F. Gabriel, Philologicum, 2008; Thé@tre et nouvelles technologies, sous la direction de Lucile Garbagnati et Pierre Morelli, Dijon, Ed. Universitaires de Dijon, 2006.
Sylvie Chalaye
Université Paris III - Sorbonne Nouvelle
Laboratoire SeFeA (Scènes Francophones et Écritures de l'Altérité)
Spécialiste des théâtres d’Afrique et des diasporas, anthropologue des représentations coloniales et historienne des arts du spectacle, Sylvie Chalaye est professeur à l’Université de la Sorbonne Nouvelle (Paris III) où elle enseigne les dramaturgies afro-caribéennes et dirige l’Institut d’Etudes Théâtrales. Au sein de l’IRET, elle anime le laboratoire de recherche « Scènes francophones et écritures de l’altérité » (SeFeA) dont le programme est consacré aux dramaturgies traversées par l’histoire coloniale et l’histoire des migrations. Elle a publié de nombreux ouvrages consacrés aux scènes et dramaturgies contemporaines d’Afrique francophone et des diasporas (Dramaturgies africaines d’aujourd’hui en 10 parcours (Lansman, 2001), L’Afrique noire et son théâtre au tournant du XXe siècle (Presses Universitaires de Rennes, 2001), Afrique noire et dramaturgies contemporaines : le syndrome Frankenstein (éditions Théâtrales, 2004), Nouvelles dramaturgies d’Afrique noire francophone (PUR, 2004), Théâtres contemporains du Sud (Notre Librairie. Revue des littératures du sud n°162, 2006), Nouvelles dramaturgies d’Afrique et des diasporas : Sonates des corps, cantates de voix (John Hopkins Press, 2008), Fratries Kwahulé : scène contemporaine chœur à corps, (Africultures n°77-78, 2009), Emergences Caraïbe(s) : une création théâtrale archipélique, Africultures n°80-81, 2010)
Membre associé du Laboratoire de Recherches sur les Arts du Spectacle du CNRS, elle a mené plusieurs études consacrées à des metteurs en scène de la nouvelle génération : Didier Georges Gabily, Dominique Pitoiset, Jean-François Sivadier, Thomas Ostermeier et s’intéresse à la question de l’altérité dans la mise en scène contemporaine.
Frédéric Curien
Université de Poitiers, École Européenne Supérieure de l’Image d’Angoulême
Compositeur et artiste plasticien sonore, Frédéric Curien enseigne à l’EESI et à l’Université de Poitiers. Il dirige le projet de Cartographie de l’espace instrumental du basson, et participe avec l’Acroe au programme Arcad, qui vise à intégrer aux arts plastiques, les outils physiques et théoriques basés sur la modélisation physique. Frédéric Curien développe la partie audio de SLIDERS, tentative de cinéma interactif collectif, projet soutenue par le Ministère de la Culture et de la Communication. Il mène une recherche à l’intersection entre musique et arts plastiques, sur l’esthétique des espaces sonores et musicaux interactifs dans l’art contemporain. Il s'intéresse aux environnements de composition et de synthèse sonore, produit des musiques pour le film, le concert et la scène.
Jean-Marie Dallet
École Européenne Supérieure de l’Image d’Angoulême
Jean-Marie Dallet est l’inventeur du concept des « figures interactives » et de la définition de l’interactivité comme « une mise en forme des relations » dans l’espace numérique. Ces outils conceptuels lui permettent une approche renouvelée des études sur l’interactivité et plus particulièrement sur les arts interactifs. Théoricien mais aussi artiste, il a exposé ses œuvres dans de nombreuses expositions internationales. Il montre alors de manière tout à fait singulière comment la théorie et l’art s’alimente l’une de l’autre, comment des formes sensibles ou bien intellectuelles se créent dans cette tension entre le percept et le concept.
Christine Desrochers
UQÀM
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Liviu Dospinescu
Détenteur d’un Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQÀM – Université du Québec à Montréal, sous la direction de Josette Féral, avec une thèse portant sur l’espace vide et les stratégies de la mise en scène dans les «pièces pour la télévision» de Samuel Beckett, Liviu Dospinescu enseigne au Département des littératures (programme de théâtre) de l’Université Laval depuis 2007. Il s’intéresse aux stratégies de production et de réception menant à l’expérience «immersive» spécifique au «théâtre phénoménologique», aux phénomènes interculturels et interdisciplinaires dans la performance contemporaine ainsi qu’aux effets de présence provoqués par l’échange de fictions entre espaces réels et espaces virtuels au théâtre. Outre ses intérêts pour les études théâtrales et culturelles, il a été metteur en scène, acteur et auteur de la Cie. Macadam Théâtre (Roumanie). Liviu Dospinescu est membre du Groupe de recherche «Performativité et effets de présence» (UQAM), du Cercle interdisciplinaire de recherches phénoménologiques (Montréal) ainsi que de la TaPRA – Theatre and Performance Research Association (Royaume Uni) où il participe aux travaux du groupe New Technologies for Theatre.
Silvia Fernandes
Universidade de São-Paolo (Brésil)
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Helga Finter
Université de Gießen
Helga Finter est professeur d'esthétique et de théorie théâtrale à l’Institut d'études théâtrales de l’Université de Gießen qu’elle a dirigé jusqu’en 2002. Elle a publié des livres sur la poésie futuriste italienne (Semiotik des Avantgardetextes 1980), sur les utopies théâtrales de Mallarmé, Jarry, Roussel et Artaud (Der subjektive Raum, 2 vol, 1990 ; El espacio subjetivo 2006) et a édité des ouvrages sur Bataille (Bataille lesen 1992), le théâtre contemporain (Grenzgänge 1998) et la théorie et la pratique de l’image après 9/11 (Das Reale und die (neuen) Bilder 2008). De nombreux articles en allemand, anglais, français, espagnol et italien sur la littérature, le théâtre et les médias et l’esthétique de la voix ont été publiés dans des ouvrages collectifs et des revues. Elle a contribué à l’édition critique de Tout Jarry (Bouquins) et aux ouvrages du CNRS sur Claude Régy et Le théâtre allemand après 1968.
Luiz Antonio Garcia Diniz
Universidade de São Paulo (Brésil)
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Milena Grass Kleiner
Chili
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Thierry Guibert
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Enseignant et chercheur à l’École Européenne Supérieure de l’Image, il est aussi doctorant en Arts Visuels et Médiatiques à l’Université du Québec à Montréal et membre associé au CIAM. Il prépare actuellement une thèse qui porte sur les mutations techniques et esthétiques de la machine-cinéma par la machine-informatique. Thierry Guibert est un artiste en arts médiatiques dont la réflexion et la production portent principalement sur le cinéma et l’informatique. Auteur et programmeur, ses installations et ses films ont fait l’objet de plusieurs expositions en France et à l’étranger : Portobello Film Festival (Londres, Royaume-Uni), Update (Gand, Belgique), Emirates Film Competition (Dubaï, Émirats Arabes Unis), Medium = Message (au HISK, Anvers, Belgique), Jouable (Genève, Suisse).
Philippe Guisgand
Lille 3
Philippe Guisgand est maître de conférences en danse à Lille 3. Il est spécialiste de l’œuvre d’Anne Teresa de Keersmaeker à qui il a consacré sa thèse de doctorat, de nombreux articles et communications et deux livres : Les fils d’un entrelacs sans fin., Septentrion, 2008 et Anne Teresa De Keersmaeker, L’Epos, 2009 (en italien). Ses autres axes de recherche le portent à dialoguer avec les autres disciplines à propos des œuvres, à mettre en œuvre une démarche d’analyse des pratiques chorégraphiques, et à travailler les rapports entre la danse et ses discours de réception. Il aime à mêler son travail de recherche aux démarches de création de chorégraphes et notamment Marion Ballester, Farid Berki et Laurent Pichaud. Enfin, il a collaboré aux livres Approche philosophique du geste dansé (Septentrion, 2006), A la rencontre de la danse contemporaine : résistances et porosités (L'Harmattan, 2009), Les rythmes du corps dans l’espace spectaculaire et textuel (Le Manuscrit, 2011).
Jean-Marc Larrue
Centre de Recherche sur l'Intermédialité
Jean-Marc Larrue est professeur de théâtre au Collège de Valleyfield. Il est directeur adjoint du Centre de recherche sur l’intermédialité (CRI) de l’Université de Montréal et membre du GRAFICS (Groupe de recherche sur l’avènement et la formation des institutions cinématographique et scénique). Ses recherches actuelles portent sur le théâtre et l’intermédialité. Il vient de terminer un ouvrage sur la création collective avec Jane Baldwin et Christiane Page, Lives and Deaths of Collective Creation,et il est l’auteur de divers ouvrages , seul ou en collaboration dont , le Théâtre yiddish à Montréal (JEU), les Nuits de la « Main » (en collaboration avec André-G. Bourassa, VLB), le Monument inattendu (HMH-Hurtubise), le Théâtre à Montréal à la fin du XIX e siècle (Fides), le Théâtre au Québec 1825-1980 (avec André-G. Bourassa, Gilbert David et Renée Legris, VLB). Il a également dirigé deux ouvrages collectifs avec Maria S. Horne et Claude Schumacher : Théâtre sans frontières –Theatre without Frontiers – Teatro sin fronteras (AITU Press) et Étudier le théâtre, Studying Theatre, estudiar el teatro (AITU Press). Il bénéficie de subventions du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC) et du Conseil des arts du Canada. Il prépare un ouvrage sur le théâtre et l’intermédialité en collaboration avec George Brown et Gerd Hauck.
Frédéric Maurin
Université du Québec à Montréal
Frédéric Maurin enseigne à l’école supérieure de théâtre depuis 2002. Il a publié Robert Wilson : le temps pour voir, l’espace pour écouter (1998) et dirigé le volume 22 des Voies de la création théâtrale sur Peter Sellars (2003). Il a également coordonné deux dossiers dans théâtre/public (« Théâtre et technologie », 1996 ; « échouer », 1998) et un numéro spécial intitulé « Festivals » pour The Contemporary Theatre Review (2003). Chapitres de livres et articles de revues à l’avenant, conférences et communications pareillement. Traductions en sus. Il s’intéresse aux questions de la représentation sur la scène contemporaine, tant au théâtre qu’à l’opéra.
Fernando Mencarelli
Universidade Federal de Minas Gerais (Brésil)
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Marie-Madeleine Mervant-Roux
CNRS (France)
Marie-Madeleine Mervant-Roux est directeur de recherche au CNRS en Etudes théâtrales (ARIAS, Atelier de recherches sur l’intermédialité et les arts du spectacle, UMR 7172) et enseigne à l’Université Paris 3-Sorbonne nouvelle. Ses travaux sur le spectateur (L’Assise du théâtre. Pour une étude du spectateur (CNRS Éditions, 1998 ; Figurations du spectateur (L’Harmattan, 2006) s’inscrivent dans une recherche sur la fonction dramatique en Europe. Elle a ainsi dirigé l'ouvrage Du théâtre amateur. Approche historique et anthropologique (CNRS Éditions, 2004). Dernières publications : Art et frontalité. Scène, peinture, performance, in Ligéia. Dossiers sur l’art, n° 81-84, 2008) ; Claude Régy, ouvrage collectif accompagné d’un DVD-rom (CNRS Éditions, « Les voies de la création théâtrale », vol. 23, 2008) ; Genèses théâtrales, co-dirigé avec Almuth Grésillon et Dominique Budor (CNRS Éditions, 2010) ; Le théâtre des amateurs et l’expérience de l’art, co-dirigé avec Marie-Christine Bordeaux et Jean Caune (L’Entretemps, 2011).
Elle coordonne depuis 2008 pour le CNRS, en partenariat avec une équipe de recherche du CRI (Centre de recherche sur l’intermédialité) de Montréal, un projet international intitulé : « Le son du théâtre/ Theatre Sound. Les technologies sonores et le théâtre (XIXe-XXIe siècle) », dont les travaux sont présentés dans les numéros 197 (octobre 2010) et 199 (mars 2011) de Théâtre/Public : Le son du théâtre 1 et 2, Le passé audible et Dire l’acoustique, co-dirigés avec Jean-Marc Larrue (CRI). Elle a publié récemment divers articles sur le sujet.
Marianna Francisca Martins Monteiro
Universidade de São Paulo (Brésil)
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Zaven Paré
Zaven Paré est plasticien, inventeur de la marionnette électronique. Il a mis en scène cette année "El Coloquio de los Perros" de Cervantes avec l´acteur Diego Jáuregui de la Compañía Nacional de Teatro de Mexico. Il a présenté son travail et participé à des formations dans des universités et des centres d´art au Canada, aux États Unis, au Mexique, au Brésil, en Angleterre, en Belgique et en France au cours des deux dernières années.
Zaven Paré a été collaborateur d´Édouard Lock pour sa première pièce de ballet classique ("Bread pieces" de Tchaïkovski) au Het National Ballet d´Amsterdam. Notons entre autre son compagnonnage de 1990 à 1999 avec Denis Marleau, et Marie Chouinard de 1988 à 1993, notamment pour "Le Sacre du Printemps" de Stravinsky qui tourne depuis maintenant plus de 15 ans. Il a travaillé pour des répertoires musicaux aussi divers que Bowie (I.C.A. de Londres), Kagel (Musée d´Art contemporain de Montréal) ou Mozart (Opéra de Paris).
Ses recherches sur la dramaturgie et la robotique lient intimement son travail à des figures aussi emblématiques que controversée telles que l´écrivain Valère Novarina ou le roboticien Hiroshi Ishiguro.
Antonia Pereira-Bezerra
Universidade Federal da Bahia
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Dramaturge, théoricienne et Professeure de Dramatugie et Semiologie Théâtrale à l’École de Théâtre de l’Université Féderal de Bahia, Brésil; Directrice du Troisième Cycle en Arts du Spectacle à l’Université Fédérale de Bahia.
Enrico Pitozzi
Université de Bologne
Enrico Pitozzi enseigne la « dramaturgie des nouveaux médias » au Département de Musique et du Spectacle de l'Université de Bologne en Italie. Entre 2005 et 2006 il a développé une partie de sa recherche de doctorat en collaboration avec Emanuele Quinz du Département de Danse de l’Université Paris 8. Il est rédacteur du magazine italien Art'O et collabore à diverses revues parmi lesquelles Culture Teatrali dirigée par Marco De Marinis. Dans le cadre de Genova 2004 Capitale Européenne de la culture, il a participé à l’organisation de la présentation italienne Le corps techn(o)rganique, installation chorégraphique de la compagnie québécoise Kondition Pluriel dans la programmation des activités de « l’Agence Culturelle du Québec en Italie / Biennale Orizzonte Québec 2004 ». Son travail de recherche est indiqué dans le Présence Research Groups - section Arts/Performance, programme international de recherche sur la présence, dans le cadre de PEACH Project.
Izabella Pluta
Haute école de théâtre de Suisse romande
Izabella Pluta est titulaire d’une thèse de doctorat consacrée aux relations de l’acteur et des nouveaux médias sur la scène, élaborée à l’Université de Lausanne (à paraître aux Editions l’Age d’homme en 2011). Elle a été chargée de cours au niveau Bachelor à l’Université d’Opole (Pologne), à la Manufacture (Promotion D et E), en Master à l’Université de Tours (filière Arts du spectacle) ainsi qu’à l’Université de Lausanne (Formation continue en cinéma et intermédialité). Coresponsable et responsable de plusieurs projets : projet pédagogique «L’école du spectateur» (Théâtre Arsenic et Université Populaire), projets artistiques avec des metteurs en scène : Leszek Madzik (Pologne) et Krystian Lupa (la Manufacture). Ses articles ont été publiés dans plusieurs revues théâtrales (Didaskalia, Teatr, Opcje, Ubu. Scènes d’Europe) et dans des ouvrages collectifs (Mapping Intermediality in Theatre and Performance, Collection Media Matters, Amsterdam University Press, 2010). Elle est également membre du groupe de recherche Théâtre et intermédialité de la Fédération internationale pour la recherche théâtrale (FIRT), critique de théâtre et traductrice. Elle est actuellement chercheuse associée à la Haute école de théâtre de Suisse romande.
Maria Lúcia de Souza Barros Pupo
Universidade de São Paulo (Brésil)
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Yves Racicot
UQÀM
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Maria Stasinopoulou
Maria Stasinopoulou est titulaire d’un D.E.A. de Littérature et de Civilisation françaises de Paris IV, docteur ès lettres du département de Langue et de Littérature françaises de l’Université d’Athènes. Sa thèse porte sur les mises en scène des pièces de Molière montées par des troupes helléniques. Elle a effectué un stage postdoctoral en Théâtre-Littérature au Centre de recherche interuniversitaire sur la culture et la littérature québécoises de la Faculté des lettres de l’Université Laval. Sa recherche postdoctorale avait comme sujet les stratégies de mise en scène dans le théâtre québécois actuel. Elle est collaboratrice du Laboratoire du théâtre et du cinéma, institution placée sous l’égide de l’Université d’Athènes. Correspondante du site de critique du spectacle : Le théâtre du blog et de la revue Θεατρογρφίες [Ecritures Théâtrales].Actuellement, elle suit un autre stage postdoctoral à l’Université du Québec à Trois Rivières sur les nouvelles technologies et l’effet de distanciation dans les mises en scènes du théâtre québécois actuel.
Tamar Tembeck
Université libre de Bruxelles
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